Anouck découvre, au fil de ses voyages, le goût de la découverte, l’apprentissage de nouvelles cultures, de la géopolitique, ainsi que des langues comme l’anglais et l’arabe. Ces expériences et ses voyages l’ont marquée et ont également fait naître sa passion pour le journalisme.
De retour en France, elle dépose ses bagages dans la cité des Ducs. Ses premières impressions de la ville sont les nombreux bâtiments, les routes plus étroites, les trams, toutes ces choses qui sont différentes de Dubaï. Ces appréhensions s’effacent rapidement. La jeune Nantaise découvre « la vie de lycéenne à Nantes, avec les sorties au bar » et trouve vite ses marques et ses lieux de prédilection : le Tabarnak, les bords de l’Erdre et, bien sûr, l’iconique Café du Passage.
Anouck a ses habitudes ; pour conquérir Anouck, il suffit seulement d’un café crème, d’une terrasse et de copains.
La jeune Nantaise a un souhait : devenir journaliste. Pour cela, elle se donne tous les moyens d’y arriver. Avec son engagement chez Fragil depuis un an, son envie de rendre de bons articles, comme celui où elle a pu interviewer Johanna Rolland, se renforce. Mais aussi grâce à ses stages en radio qui l’ont marquée, notamment à France Inter : “j’ai découvert l’écriture radio, le fait de ne pas être obligé d’écrire formellement, d’écrire de la même façon dont tu parles.”
Cette manière de transmettre l’information avec une écriture différente est pour elle un moyen de refléter sa personnalité dans la transmission de l’information de manière plus vraie et plus personnelle.