Entre feu Transcendanse, le pérenne battle d’Hip Hopsession et le futur Nijinskids, la danse actuelle a de beaux jours devant elle à Nantes. Et c’est pour répondre à « une demande de la Ville », selon Ambra Senatore, directrice du Centre Chorégraphique National de Nantes, que se sont mis en branle les acteurs de la scène locale dans une synergie interdisciplinaire.
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Ainsi, sur huit jours, treize espaces accueilleront une trentaine de créations se voulant tous publics et mêlant danse et questionnement sur l’écologie (Unisson d’Ashley Chen, les 22 et 23 janvier au CCNN), danse et photographie (expo Jest à l’Atelier) ou encore danse et lecture (« lire la danse » à la médiathèque Hermeland de St Herblain), danse et sociologie (ASSIS par l’association Uncanny, le 27 janvier à l’Onyx de St Herblain), danse et rite (Sa Prière de Malika Djardi, le 20 janvier au Lieu Unique), danse et imagerie 3D (Matchatria de Yui Kawaguchi, le 23 janvier à Stéréolux), danse et télé-réalité (Kromos de VLAM Productions, les 25 et 26 janvier au T.U.), danse et peinture (visites de musées en compagnie de danseurs solistes interprétant des tableaux), danse et politique (Monstres – On ne danse pas pour rien du Congolais DeLaVallet Bidiefono, les 22 et 23 janvier au Grand T), danse et mode (Bazin de Tidiani N’Diaye, le 20 janvier au 783)…
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La curiosité est une saine qualité et le mélange des genres un must
Les rapports à bien d’autres arts encore tels que le cinéma, la musique, la sculpture, mais aussi aux universaux que sont la mort, la fraternité ou l’individualité seront également évoqués et des théories esquissées en gestes. Le but ? Montrer la diversité des propositions existantes sur le territoire sans cohérence ni thématique particulière mais avec le souci de mettre en valeur la richesse de la palette des talents.
Trajectoires est « un appel à obliquer les corps ». Pour répondre à cet appel, un bal rock intitulé Let’s dance est organisé au soir du 27 janvier au 23 rue Noire : alors, on danse ?
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