De David Bowie à Dominique A, Caroline donne le La, un allegro fortissimo, ressenti comme une révélation musicale d’où émerge un univers de songes et de projets, haut en couleurs.Caroline s’y dessine, s’émerveille de la nature dans tous ses sens, comme les oiseaux qui l’enchantent, à ébaucher de nouveaux horizons.
Des mots aux notes musicales des oiseaux,
Une clé de sol, Caroline s’enthousiasme pour la musique, se laisse emporter, passe de l’écoute des radios libres aux vibrations des spectacles vivants. Rien de mieux que vibrer au rythme des lives. Faire tomber les frontières, c’est la magie du groupe de musiciens anglais And Also The Trees qu’elle se plaît à suivre de Londres à Paris, en passant par la Belgique, l’Allemagne, la Suisse ou le Japon.
Sur cette note de musique, Caroline dévoile sa passion pour le Japon connu, reconnu, pays où l’accueil est exceptionnel pour le ou la Française de passage, pays du Soleil Levant qui toujours reste fascinant.
Caroline évoque les nombreux concerts auxquels elle a assisté, cite Dominique A ou Ryuichi Sakamoto et la dernière fois où elle a eu la chance de le voir (Lieu Unique mars 2018), émotion intense et attend la sortie de son ultime album le 23 juin 2023.
« The line » de Caro
Depuis les années 90, Caroline s’investit dans les technologies de l’information, avec la création de sites Intranet ou Internet d’abord pour des sociétés ou des associations, puis ceux qu’elle développe pour des artistes.
Caroline suit une formation de Chef de projet digital pour muscler ses pratiques numériques et la rendre autonome pour la conduite de projets ou les réalisations techniques.
Le musicien, Olivier Mellano lui confie alors sa communication digitale : elle conçoit et administre son site, assure les parties graphiques et réalise sa newsletter mensuelle.
Force de proposition, elle conseille et accompagne ARM, musicien de la scène rap confronté au problème d’un groupe homonyme. Caroline crée sa page Wikipédia, puis conçoit et développe son site. Prochaine étape, optimiser son référencement.
A l’origine à 2 voix de l’association « 73notes », Caroline et la fondatrice lancent l’U-folia, une folie, une utopie : une scène mobile en bois conçue par les étudiants de l’École Supérieure du Bois et de l’École Nationale Supérieure d’Architecture, sous forme de lanterne japonaise (l’autre nom de la physalis) où sont programmées des œuvres poétiques et des sets musicaux, tel à la Maison Julien Gracq à St Florent-Le-Vieil ou sous les Nefs à Nantes.
Le Covid a mis un terrible coup de frein à l’organisation d’événements. Mais elle ne lâche pas l’affaire et retravaille à la programmation. Les nouvelles seront à retrouver bientôt sur le site internet ou diffusées par flyers toujours conçus par Caroline…
L’appel de la nature se fait par les notes des oiseaux. Caroline est à l’écoute, jumelles autour du cou pour les apercevoir, elle les guette, elle cherche un mouvement dans les arbres pour les démasquer. Sa plus grande satisfaction, repérer un oiseau qu’elle n’a jamais vu et retrouver l’espèce dans un de ses vieux guides papier. Elle sait qu’elle gagnerait du temps avec l’application Birdnet, mais le plaisir serait moindre.
A la recherche du temps présent, avec la nature pour témoin en pleine conscience, Caroline s’interroge, et si le bonheur y habitait ?
Caroline, le déclic du clic Fragil
Sa curiosité, son goût pour les médias allié au plaisir de relater des faits culturels ou de société, l’amène à Fragil, où elle trouve un espace de communication et d’échanges.
Très vite, elle publie des articles :
– Midi Minuit Poésie
– Ukrainiens.nes à Nantes
– Tournage du clip « Idiot » de Mellano Soyoc par Gaëtan Chataigner
– Interview de Dominique A…
Le cabinet de curiosités de Caroline
– Livre « Exprosion – Improsion » d’Olivier Mellano : un big bang poétique à lire à l’endroit ou à l’envers. Caroline précise qu’elle a eu le plaisir de faire partie des bêta lecteur·rices.
– Film « L’homme tombé du ciel » de Nicolas Roeg avec David Bowie car elle est aussi fan de science-fiction.
– BD : « chúc sức khỏe – carnet d’Asie » de Benoît Guillaume, parce qu’elle y voyage et retrouve saveurs et senteurs de l’Asie.