Alors qu’elle buvait une bière sur une terrasse de café à Dijon avec une amie, Célina prend une décision radicale. « Une amie rentrait de vacances à Nantes où elle était allée voir ma cousine, (…) à la fin de ses vacances elle s’est dit “Je vais vivre à Nantes”, et je lui ai dit “OK je pars avec toi!”, Je suis partie au bout de 24h, j’étais dans son camion avec elle le lendemain. »
Ce coup de tête, c’était il y a 20 ans, Célina n’était alors jamais allée à Nantes et c’est pour elle probablement la plus belle décision de sa vie. Son installation dans la cité nantaise lui a permis d’apprécier ses habitant·es qu’elle trouve très ouvert·es.
La nature à proximité
Célina affectionne Nantes pour ce mélange entre ville et nature, avec la Loire qui la traverse et des promenades où la nature est rapidement accessible, comme celle le long de la Chézine entre le parc de Procé et Saint-Herblain.
Une ville pour les gourmets
Pour manger, elle aime aller Au coup d’canon (12 r Jean-Jacques Rousseau) : “c’est le bon vieux bistrot où tu as encore le rouleau de serviette avec ton nom à l’intérieur”. Elle souligne que, de façon générale, il y a un grand choix de très bons restaurants à Nantes.
Pour les amateurices de pâtisseries, elle évoque le salon Rosemary (7 r des hauts pavés) et la Passagère (passage Pommeraye).
Une offre culturelle variée
Ce qu’elle apprécie aussi à Nantes, c’est son offre culturelle éclectique : elle a un attrait particulier pour les rencontres autour du cinéma, comme le festival du film espagnol, le festival Univerciné et le festival les 3 continents.
Pendant longtemps, elle s’est aussi investie bénévolement dans l’association culturelle nantaise Mémoire de l’outre mer , qui organise des actions culturelles variées (expositions, conférences, débats, rencontres littéraires, etc.) et participe à la Commémoration de l’abolition de l’esclavage ayant lieu chaque 10 mai.
Aujourd’hui, elle rejoint le média Fragil pour s’exercer à l’écriture avec un angle informationnel.