Charlotte commence par m’expliquer qu’elle est née à Nantes avant de partir s’installer avec ses parents dans le Finistère. Excepté quelques longues expériences en Australie, en Suisse ou en Indonésie, c’est principalement entre Nantes et la Bretagne que va se construire sa vie.
“C’est un peu mon port d’attache Nantes, quand je m’en vais, je retourne toujours ici.”
Après beaucoup d’emplois saisonniers durant sa vingtaine, c’est en quête de stabilité que Charlotte revient s’installer dans la Cité des Ducs il y a 6 ans. Elle devient alors éditrice en freelance pour une maison d’édition parisienne jusqu’à il y a peu, avant que la charge de travail ne l’entraîne vers un burn-out. Elle travaille depuis à la faculté de droit, un métier qui lui laisse du temps libre pour se reconnecter à ses premiers amours : l’écriture, le journalisme et les arts du spectacle.
C’est donc dans ce contexte que Charlotte s’est retrouvée chez Fragil, afin de redécouvrir Nantes d’une autre façon et de se remettre à l’écriture, tout en satisfaisant sa curiosité pour les divers domaines dont elle compte couvrir l’actualité.
“Réussir à oser faire des choses qui me plaisent vraiment.”
Avec sa longue et riche expérience de Nantes, difficile pour Charlotte de ne retenir qu’un lieu dans cette ville, pour elle, ça dépend des périodes : Pol’N, le Katorza, Stereolux, les bords de l’Erdre pour lire un bouquin ou dessiner… Elle est également adepte des bars du centre ville où elle a ses habitudes. Son triangle des Bermudes : Caf’K, Monsieur Machin, Zazou.
Pour finir, je lui demande de me décrire son ressenti sur Nantes en quelques mots et elle répond le sourire aux lèvres : “Je ne veux pas faire ma chauvine mais… Je me sens bien ici parce que je pense qu’il reste un air un peu breton, très convivial, on peut y faire des rencontres très facilement. Il y a aussi le cadre de vie, c’est hyper beau, c’est vert !”
Rendez-vous très bientôt chez Fragil pour découvrir ses prochains articles !