Née en région parisienne, et arrivée dans la campagne nantaise à l’âge d’un an; Léa s’est laissée charmer par notre ville, qu’elle a commencé à découvrir lors de ses années lycée… La verdure de la cité des Ducs, l’esprit artistique du Voyage à Nantes et de l’île des Machines, les musées, « cette ville qui bouge en permanence », tout était réuni pour son épanouissement, même si ses études l’amèneront prochainement vers d’autres horizons !
Le dessin, la danse, le chant, le crochet, le tricot, le bricolage, l’écriture, le piano, la guitare, la cuisine, le montage audio/vidéo, le graphisme… Je ne suis pas en train d’égrener la liste des activités auxquelles vous pourriez inscrire votre charmant bambin à la prochaine rentrée, mais bel et bien celle de toutes les passions de Léa ! Elle éprouve également le besoin de voyager et de contact humain, et pour elle «le journalisme, c’est le croisement de tout ça».
Depuis les premiers montages vidéo réalisés sous Movie Maker en imitant son papa à l’adolescence, sa passion ne l’a pas quittée. Elle avoue avoir un penchant pour les médias indépendants, qui s’éloignent un peu du traditionnel, en citant en exemple Tarmac ou Brut, qui « s’adaptent à notre génération en proposant des formats courts et accessibles » au plus grand nombre.
Léa est dans la vie comme au travail, la bienveillance est au cœur de ses préoccupations, et lors de ses interviews elle instaure un cadre agréable, installant la discussion plutôt que le traditionnel jeu des questions-réponses.
La bienveillance, on la ressent également dans le podcast Free Your Mind, qu’elle a lancé avec son amie Maëlle en septembre dernier, et disponible à l’écoute sur toutes les plateformes !
Elles se livrent toutes les deux à des échanges à cœur ouvert, autour des émotions et des ressentis. Pour Léa, « on vit dans une époque où on poste de belles photos sur Instagram, mais c’est important de montrer qu’on est aussi parfois dans des périodes de doute ». Le podcast a pour but de donner la parole à tout le monde, car selon Léa, le pire sentiment est de « se sentir seul.e ou pas représenté.e ».
Si vous cherchez Léa, lorsqu’elle n’est pas du côté du Hangar à Bananes et du Warehouse , vous la trouverez à manger un kebab à la Rose des Sables, ou à boire un verre à Canaille, « les pintes n’y sont pas chères ».
À moins qu’elle ne se trouve au jardin du château des Ducs de Bretagne, assise sous le soleil, avec les canards à ses pieds, une énième passion !