Papooz, c’est avant tout une histoire d’amitié entre Armand et Ulysse, deux Parisiens compositeurs et chanteurs, amoureux des Beach Boys, des Beatles et du Velvet Underground (entre autres).
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Après une rencontre autour d’un projet de journal littéraire et artistique qui ne s’est jamais réalisé, les deux compères traînent ensemble et commencent à composer des chansons. Ils sortent leur premier EP en 2015, puis leur premier album « Green Juice » l’année suivante. Après avoir tenté de chanter à l’unisson, ils ont établi une règle très simple : celui qui écrit le titre le chante.
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En mars 2019, leur deuxième album « Night Sketches » réunit leurs influences seventies et eighties et dévoile une nouvelle facette de leur répertoire.
Le concert
Après une première partie aux teintes pink floydiennes assurée par Lauter, les Papooz se sont emparés de la scène pour proposer au public nantais les morceaux tirés de leur dernier album. Chantant exclusivement en anglais, le duo parisien a offert pendant près de deux heures ses douces mélodies et ses rythmes chaloupés.
[aesop_image imgwidth= »50% » img= »https://www.fragil.org/wp-content/uploads/2019/04/IMG_20190416_220958.jpg » credit= »Anaïk Viollin » align= »center » lightbox= »on » caption= »Ulysse chez lui, sur scène… » captionposition= »center » revealfx= »off » overlay_revealfx= »off »]
Armand a la voix haut perchée, plus féminine. Celle d’Ulysse est plus grave mais garde une tessiture aiguë. Ces deux voix androgynes sont placées au centre de leurs mélodies et se mêlent aux rythmes de leurs compositions.
[aesop_image imgwidth= »50% » img= »https://www.fragil.org/wp-content/uploads/2019/04/IMG_20190416_220007.jpg » credit= »Anaïk Viollin » align= »center » lightbox= »on » caption= »Armand et sa voix haut perchée » captionposition= »center » revealfx= »off » overlay_revealfx= »off »]
L’esprit pop de leur premier album a enchanté le public éclectique, de tout âge et genre confondu. Sur scène, les deux compères sont à leur place et occupent tout l’espace. Accompagnés d’un batteur aux mimiques improbables, d’un bassiste déguisé en marin et d’un violoncelliste-clavieriste beaucoup plus sobre, ils ont envoyé des vagues de good vibes que le public a remerciées en applaudissements nourris.
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Visiblement heureux d’être sur scène, les deux compères ont achevé leur set avec leur magnifique « Ann wants to dance » et croyez-moi, Ann a dansé…