26 novembre 2018
La Revue de presse du 12 au 19 novembre
En ce mois de Novembre 2018, Fragil s'est emparé de l'actu numérique et médiatique pour mettre en page sa revue de presse.
En ce mois de Novembre 2018, Fragil s'est emparé de l'actu numérique et médiatique pour mettre en page sa revue de presse.
À l'occasion du mois du film documentaire, Fragil s'est rendu à la médiathèque Floresca Guépin afin d'animer deux ateliers. Un premier débat le samedi 10 novembre autour du documentaire Nothing to Hide, puis un décryptage des fake news avec l'atelier "démêler le vrai du faux" le 14 novembre dernier.
Fragil s’est déplacé, jeudi 08 novembre à la Parenthèque de Thouaré sur Loire afin d’animer un débat auprès d’une trentaine de parents autour du danger des écrans et de l’utilisation des réseaux sociaux chez les adolescents.
Cyberharcelement, dérives des réseaux sociaux, polémistes clasheurs... Fragil a sélectionné pour vous l'essentiel de l'actualité numérique et médiatique de la semaine passée.
Mardi 30 octobre, Fragil s’est rendu à l’espace jeunes de Mauves sur Loire afin d’animer pendant trois heures un atelier autour des métadonnées face à une dizaine de participants et participantes. Ce projet co-financé par le Conseil Départemental et la DRDJSCS rentre dans le cadre de l'action d'éducation aux médias menée au quotidien par l'association Fragil.
Comme chaque semaine, Fragil sélectionne plusieurs articles autour du monde du journalisme et du numérique pour enrichir son action dans ces domaines.
Dans le cadre d’une action d’éducation aux médias, Fragil a accompagné 8 jeunes du PIJ d’Orvault dans la création d’un blog lors de la semaine du 22 au 26 Octobre.
Dans le cadre de du festival numérique FAN@TIC organisé par l’association Start’Air le 25 octobre 2018 à Montoir-de-Bretagne, Fragil a mis en place une animation de décryptage de la pornographie sur internet à destination des adolescents et une soirée conférence-débat à destination des parents, le tout en partenariat avec le planning familial.
En ce mois d'octobre 2018, Fragil a fait le tour de la presse française et propose sa revue de presse pour apporter sa lecture autour du journalisme et du numérique.
Dans le cadre d’un nouveau partenariat, l’association Fragil s’est déplacé le vendredi 12 Octobre à l’Allée Verte de Saint-Sébastien-sur-Loire afin de rencontrer des jeunes du centre socioculturel pour échanger sur leurs connaissances et leur pratique de YouTube.
L’investigation vit-elle ses derniers mois sur l’audiovisuel public en France ? Contraints par une réduction budgétaire de 50 millions d’euros en 2018 par rapport au contrat d’objectifs et de moyens conclu avec l’ancien gouvernement, les magazines « Envoyé Spécial » et « Complément d’enquête » verront leurs effectifs drastiquement diminués et une réduction du temps de diffusion au point de ne plus pouvoir assurer correctement leur mission d’information. Depuis l’annonce, les soutiens s’accumulent, notamment sur Twitter avec le hashtag #Touchepasàmoninfo, pour tenter de peser sur les décisions de Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, déjà visée par une motion de défiance. L’association Fragil, défenseur d’une information indépendante et sociétale, se joint à ce mouvement de soutien.
Après la directive adoptée par le Parlement européen portant sur le secret des affaires en avril 2016, il s’agit d’un nouveau coup porté à l’investigation journalistique en France. Scandales de la dépakine, du levothyrox, du coton ouzbek (pour ne citer qu’eux), reportages en France ou à l’étranger sur des théâtres de guerre, à la découverte de cultures et de civilisations sont autant de sujets considérés d’utilité publique. Cela prend du temps et cela coûte évidemment de l’argent. Mais il s’agit bien d’éveiller les consciences, de susciter l’interrogation, l’émerveillement, l’étonnement ou l’indignation. Sortir des carcans d’une société de consommation en portant la contradiction, faire la lumière sur des pratiques, des actes que des citoyens pensaient impensables mais bien réels. Telle est « la première priorité du service public », comme le considère Yannick Letranchant, directeur de l’information.
En conclusion, nous ne pouvions passer à côté d’une citation d’Albert Londres ô combien au goût du jour, prix éponyme que des journalistes d' »Envoyé Spécial » ont déjà remporté : « Je demeure convaincu qu’un journaliste n’est pas un enfant de chœur et que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée dans une corbeille de pétales de roses. Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie. »
Valentin Gaborieau – Décembre 2017