féminisme

  • #8Novembre16h48, combattre les inégalités salariales avec Negotraining
8 novembre 2024

#8Novembre16h48, combattre les inégalités salariales

Depuis 16h48 ce vendredi 8 novembre 2024, les femmes commencent à travailler gratuitement jusqu’à la fin de l’année en France, selon Les Glorieuses. Alors que les inégalités salariales sont encore trop présentes, focus sur une formation à la négociation salariale mise en place à Nantes.

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24 octobre 2024

Les Impertinant·es, un café féministe à Nantes

Les Impertinant·es ont fêté l’ouverture de leur café féministe ce samedi 19 octobre. En plein cœur de l’île de Nantes, à quelques pas de la place République, rue de la Tour d’Auvergne, une devanture qui se distingue par sa couleur bleu roi.

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4 septembre 2019

Les femmes effacées de l’Histoire

La société patriarcale a cantonné les femmes aux rôles de ménagères et de mères, leur interdisant l'accès à la vie politique, scientifique, artistique. Leur avenir était tout tracé. Malgré ces diktats, des femmes se sont battues pour œuvrer pour la science, la littérature, la musique... Certaines ont obtenues des prix Nobel quand d'autres sont tombées dans l'oubli et ont été effacées. Il faut leur rendre justice.

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19 juin 2019

A poil !

Mardi 4 juin, Estelle Brochard nous a parlé du poil, plus précisément de la pilosité et du corps des femmes. Ca s’est passé au 102, sous forme de conférence gesticulée. « Le Poil incarné, ou comment reprendre du poil de la bête ».

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7 avril 2017

Musée d’arts de Nantes : le songe d’une femme

Neuf jours après la Journée internationale des droits des femmes, le Printemps des Fameuses réunissait à Stereolux femmes et hommes désireux d’explorer la question de l’égalité des sexes au travers de conférences et ateliers. L’occasion de rencontrer l’une des femmes fortes nantaises. Sophie Lévy, à la tête depuis juillet 2016 du nouveau Musée d’arts de Nantes, raconte un parcours marqué par le pouvoir de l’art, l’influence féminine en filigrane.

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L'édito

Touche pas à mon info !

L’investigation vit-elle ses derniers mois sur l’audiovisuel public en France ? Contraints par une réduction budgétaire de 50 millions d’euros en 2018 par rapport au contrat d’objectifs et de moyens conclu avec l’ancien gouvernement, les magazines « Envoyé Spécial » et « Complément d’enquête » verront leurs effectifs drastiquement diminués et une réduction du temps de diffusion au point de ne plus pouvoir assurer correctement leur mission d’information. Depuis l’annonce, les soutiens s’accumulent, notamment sur Twitter avec le hashtag #Touchepasàmoninfo, pour tenter de peser sur les décisions de Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, déjà visée par une motion de défiance. L’association Fragil, défenseur d’une information indépendante et sociétale, se joint à ce mouvement de soutien.

Après la directive adoptée par le Parlement européen portant sur le secret des affaires en avril 2016, il s’agit d’un nouveau coup porté à l’investigation journalistique en France. Scandales de la dépakine, du levothyrox, du coton ouzbek (pour ne citer qu’eux), reportages en France ou à l’étranger sur des théâtres de guerre, à la découverte de cultures et de civilisations sont autant de sujets considérés d’utilité publique. Cela prend du temps et cela coûte évidemment de l’argent. Mais il s’agit bien d’éveiller les consciences, de susciter l’interrogation, l’émerveillement, l’étonnement ou l’indignation. Sortir des carcans d’une société de consommation en portant la contradiction, faire la lumière sur des pratiques, des actes que des citoyens pensaient impensables mais bien réels. Telle est « la première priorité du service public », comme le considère Yannick Letranchant, directeur de l’information.

En conclusion, nous ne pouvions passer à côté d’une citation d’Albert Londres ô combien au goût du jour, prix éponyme que des journalistes d' »Envoyé Spécial » ont déjà remporté : « Je demeure convaincu qu’un journaliste n’est pas un enfant de chœur et que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée dans une corbeille de pétales de roses. Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie. »


Valentin Gaborieau – Décembre 2017