20 février 2020
LunDIY Fake News et théories du complot : un atelier “super”.
La soirée du lundi 17 février, Fragil animait une conférence sur les Fake News et sur les théories du complot au CRIJ de Nantes.
La soirée du lundi 17 février, Fragil animait une conférence sur les Fake News et sur les théories du complot au CRIJ de Nantes.
La soirée du jeudi 6 février 2020, Fragil animait une conférence sur les écrans, internet et les réseaux sociaux au collège Rosa Parks de Nantes
Une classe de 4ème du collège Jules Verne de Nantes avait rendez-vous à la médiathèque Demy au matin du 6 février 2020 pour réaliser des reportages sur Instagram
Mardi 4 février, Fragil intervenait à la PJJ de Nantes pour parler réseaux sociaux avec des jeunes en stage civique.
Mercredi 29 janvier, Fragil est intervenue à la médiathèque d'Orvault pour parler fake news et théories du complots, dans le cadre du parcours numérique proposé par le PIJ de la ville
4 classes de seconde du lycée Alcide d'Orbigny de Bouaye ont participé du 20 au 24 janvier 2020 à la résolution d'une enquête sur l'analyse des métadonnées de plusieurs photos
L'équipe de Fragil est intervenue auprès des parents de l'école George Brassens pour une conférence sur les écrans. Un temps matinal proposé le 22 janvier 2020.
Le 19 novembre 2019, Fragil a accueilli en ses locaux des animateurs et animatrices jeunesses venu.e.s se former à l'écriture web. Retour sur cette journée consacrée au journalisme et aux nouvelles écritures sur les réseaux sociaux.
Les 14 et 15 novembre 2019, le cirque Inextremiste a posé son chapiteau à St Herblain, près de Nantes. Leur spectacle, Extension, surprend autant qu'il émerveille, retour sur ce show d'équilibre unique.
Le 29 octobre 2019, l'équipe de Fragil s'est rendue au Pôle Enfance de Savenay pour animer une soirée sur l'information et les Fake News. Une soirée où parents et enfants étaient conviés pour deux temps menés en parallèle.
L’investigation vit-elle ses derniers mois sur l’audiovisuel public en France ? Contraints par une réduction budgétaire de 50 millions d’euros en 2018 par rapport au contrat d’objectifs et de moyens conclu avec l’ancien gouvernement, les magazines « Envoyé Spécial » et « Complément d’enquête » verront leurs effectifs drastiquement diminués et une réduction du temps de diffusion au point de ne plus pouvoir assurer correctement leur mission d’information. Depuis l’annonce, les soutiens s’accumulent, notamment sur Twitter avec le hashtag #Touchepasàmoninfo, pour tenter de peser sur les décisions de Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, déjà visée par une motion de défiance. L’association Fragil, défenseur d’une information indépendante et sociétale, se joint à ce mouvement de soutien.
Après la directive adoptée par le Parlement européen portant sur le secret des affaires en avril 2016, il s’agit d’un nouveau coup porté à l’investigation journalistique en France. Scandales de la dépakine, du levothyrox, du coton ouzbek (pour ne citer qu’eux), reportages en France ou à l’étranger sur des théâtres de guerre, à la découverte de cultures et de civilisations sont autant de sujets considérés d’utilité publique. Cela prend du temps et cela coûte évidemment de l’argent. Mais il s’agit bien d’éveiller les consciences, de susciter l’interrogation, l’émerveillement, l’étonnement ou l’indignation. Sortir des carcans d’une société de consommation en portant la contradiction, faire la lumière sur des pratiques, des actes que des citoyens pensaient impensables mais bien réels. Telle est « la première priorité du service public », comme le considère Yannick Letranchant, directeur de l’information.
En conclusion, nous ne pouvions passer à côté d’une citation d’Albert Londres ô combien au goût du jour, prix éponyme que des journalistes d' »Envoyé Spécial » ont déjà remporté : « Je demeure convaincu qu’un journaliste n’est pas un enfant de chœur et que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée dans une corbeille de pétales de roses. Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie. »
Valentin Gaborieau – Décembre 2017