photographies

22 février 2021

Exposition Golden Age – l’abondance du street art

C’est à Orvault que l’exposition Golden Age a pris place, sur les murs d’une grande maison à deux étages. Dans chaque pièce, la marque des 28 artistes ayant pris part à la résidence autour du thème éponyme, à l’initiative de la street artiste nantaise LadyBug.

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29 janvier 2019

Z’auriez pas 30 balles ?

Esthétique et sociétal, politique et poétique, le projet de beau livre du photographe Yves Monteil, Police et Paysages, est original à plus d'un titre. La question de la répression étant d'une actu brûlante, l'auteur a souhaité pallier le manque de documentation du sujet, en passant par un noir & blanc... policé. Beau et utile, le projet se présente tout seul sur une plateforme de crowdfunding. A vos bons cœurs, m'sieurs, dames : le compte à rebours a commencé pour contribuer à sa réalisation !

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26 novembre 2018

Un retour vers le passé…

Les archives départementales de la Loire-Atlantique vous accueillent jusqu'au 07 avril 2019 pour venir découvrir l’exposition Retour de Guerres. Cette exposition va vous faire faire un bond en arrière et vous embarquer au cœur de la 1ère guerre mondiale.

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18 octobre 2018

La Lady de Nantes, une sacrée nana !

A la fin d’une après-midi ensoleillée du mois d’Octobre, j’ai rendez-vous avec Alexandra Rhoul, jeune femme de 44 ans et initiatrice du projet LadydeNantes qui toutes les semaines sur sa page Facebook et Instagram, dresse le portrait d’une nantaise sur un lieu de la ville qui la caractérise et qui lui est cher.

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8 mars 2018

La migration exposée à Nantes

Que sait-on exactement des migrants ? On connait surtout les gros titres des journaux, les chiffres, les funèbres nouvelles de naufrages en Méditerranée ou les camps de réfugiés aux portes de l’Europe. Mais derrière ces statistiques, existent des vies humaines et des histoires. Dans ces deux expositions, photographies, documentaires et témoignages mettent un visage sur ces milliers de réfugiés lancés sur les routes de l’exil et livrent une partie de leur histoire.

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L'édito

Touche pas à mon info !

L’investigation vit-elle ses derniers mois sur l’audiovisuel public en France ? Contraints par une réduction budgétaire de 50 millions d’euros en 2018 par rapport au contrat d’objectifs et de moyens conclu avec l’ancien gouvernement, les magazines « Envoyé Spécial » et « Complément d’enquête » verront leurs effectifs drastiquement diminués et une réduction du temps de diffusion au point de ne plus pouvoir assurer correctement leur mission d’information. Depuis l’annonce, les soutiens s’accumulent, notamment sur Twitter avec le hashtag #Touchepasàmoninfo, pour tenter de peser sur les décisions de Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, déjà visée par une motion de défiance. L’association Fragil, défenseur d’une information indépendante et sociétale, se joint à ce mouvement de soutien.

Après la directive adoptée par le Parlement européen portant sur le secret des affaires en avril 2016, il s’agit d’un nouveau coup porté à l’investigation journalistique en France. Scandales de la dépakine, du levothyrox, du coton ouzbek (pour ne citer qu’eux), reportages en France ou à l’étranger sur des théâtres de guerre, à la découverte de cultures et de civilisations sont autant de sujets considérés d’utilité publique. Cela prend du temps et cela coûte évidemment de l’argent. Mais il s’agit bien d’éveiller les consciences, de susciter l’interrogation, l’émerveillement, l’étonnement ou l’indignation. Sortir des carcans d’une société de consommation en portant la contradiction, faire la lumière sur des pratiques, des actes que des citoyens pensaient impensables mais bien réels. Telle est « la première priorité du service public », comme le considère Yannick Letranchant, directeur de l’information.

En conclusion, nous ne pouvions passer à côté d’une citation d’Albert Londres ô combien au goût du jour, prix éponyme que des journalistes d' »Envoyé Spécial » ont déjà remporté : « Je demeure convaincu qu’un journaliste n’est pas un enfant de chœur et que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée dans une corbeille de pétales de roses. Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie. »


Valentin Gaborieau – Décembre 2017