Étape 2 : Portes-Ouvertes et Université à l’essai
Les portes-ouvertes sont comme les salons du lycéen et de l’étudiant, non obligatoires mais bien plus nécessaires quand même que ces-derniers. Quand on s’y rend, on a déjà une idée en tête de quelle formation on souhaiterait bénéficier l’année suivante. Et au lieu de savoir ce que les étudiants apprennent, on y va plutôt pour rencontrer des professeurs, qui peuvent nous apprendre les méthodes de recrutement des futurs élèves, l’organisation des cours suivis dans la formation. On s’y rend aussi pour visiter les infrastructures de l’université afin de prendre légèrement nos marques bien en avance.
Certaines universités proposent de suivre des cours d’essai dans toutes leurs formations. C’est le cas de l’université de Nantes.
Intéressé dans un premier temps par la communication, j’ai voulu me renseigner sur les apprentissages de langues étrangères et de droit. Pour cela j’ai assisté à un cours de chinois à la faculté de langues, le lundi 17 février, et à un cours sur les institutions internationales à la faculté de droit, le mardi 18 février. Le cours de chinois était assez simple comme j’en fait déjà au lycée, mais très intéressant. Quant au cours de droit il a été très instructif et enrichissant. Cela m’a permis de découvrir de nouveaux débouchés, et mon projet professionnel a changé depuis. J’avais envie de travailler dans la communication dans les entreprises mais faire toutes ces démarches a suscité en moi le désir de travailler dans la diplomatie internationale, dans des ambassades.
Tout ça pour dire que se rendre aux portes-ouvertes permet d’affiner un projet professionnel et que ces cours d’essai enlèvent des esprits les à priori.
Pour décrire les portes-ouvertes des écoles de communication, auxquelles j’ai participé le 25 janvier, je peux dire qu’elles étaient très opposées. Pour une école, l’YNOV, c’était super bien, j’ai reçu un très bon accueil, et pour l’autre, qui est SUP’DE COM, pas du tout. C’est une école de communication mais au niveau de la communication avec moi, ils ont été très mauvais. Je peux dire que ce sont deux approches de recrutement extrêmement différentes. Cela m’a permis de me rendre compte que ce n’était pas l’orientation qui m’intéressait et surtout le sens que je voulais donner à ma vie future.
Ensuite j’ai eu une discussion avec mon père qui m’a permis de poser de nouveaux choix : les langues étrangères et les relations internationales. Puis j’ai cherché des formations en lien.
C’est suite à cela que j’ai été faire les portes-ouvertes des universités de La Rochelle et la Roche / Yon le 8 février. Il y a eu beaucoup de points positifs dans ces portes-ouvertes : les rencontres avec les professeurs et les élèves, qui m’ont permis de me rendre compte que c’était vraiment ce que je voulais faire ! Travailler les langues, et à l’international. J’ai également échangé par mail avec l’Inalco (l’Institut National des Langues et des Civilisations Orientales) car j’habite vraiment loin de Paris et il m’était impossible de me rendre aux portes-ouvertes.
Je tiens, comme dans la première chronique, à remercier sincèrement tous ceux qui m’ont lu jusqu’au bout, et j’espère que vous avez tous appris quelques bonnes informations et que vous saurez tirer parti de mes explications.
On se retrouve tous bientôt pour une dernière chronique. Sur les choix Parcoursup’ et le confinement…